Pourquoi ? Parce que dans une série ultra-rythmée comme celle-ci, c’est justement ces respirations qui donnent du poids aux dialogues, tout en mettant en avant le jeu des acteurs. Ni punchlines, ni voix-off, juste des regards, des souffles et des instants suspendus.
Et pourtant, tout est toujours là. Comme quoi, parfois, ce qu’on ne dit pas raconte aussi quelque chose. Et c’est une bonne manière de résumer la série pour ceux qui ne l’ont pas revue depuis sa sortie, il y a 14 ans.